Claudine PEREZ

Claudine Perez : « Je peins depuis de nombreuses années. Il s’agit plus d’une passion que d’un réel métier. Les toiles commencent d’ailleurs à s’empiler chez moi ! Je devrais songer à faire une exposition prochainement, pourquoi pas dans la galerie de l’Hôtel de ville ? : En 2011, j'ai reçu le prix du public pour l'ensemble de mes tableaux exposés lors du 28ème salon Arnorisère qui a lieu à Saint Quentin Fallavier. J’écris aussi quelques poèmes, mais je n’ai encore jamais trouvé le temps de les faire éditer. »
Marie Cristaldi : « Quant à moi, j’ai déjà l’habitude d’écrire mes propres histoires et poèmes, je participe à différents salons et opérations destinées aux auteurs comme « dis-moi dix mots » où un de mes textes figurait dans les cinquante meilleurs poèmes retenus pour la région Auvergne Rhône-Alpes. »

Claudine Perez : « J’ai adoré dessiner pour des enfants, cela m’a permis de sortir de mes portraits habituels. Je me suis laissée bercer par les textes de Marie, c’était très agréable et réconfortant. C’était comme une sorte de méditation. »
Marie Cristaldi : « L’aventure avec les tout-petits a commencé pour moi dans les crèches, je leur lisais des histoires mais ne trouvais jamais de poésies adaptées à leur âge. C’est pourquoi j’ai décidé d’en écrire moi-même ! Je lis d’ailleurs des poésies et des histoires au groupe scolaire le ruisseau (GS13) tous les mardis matins, c’est un temps privilégié avec les enfants que j’apprécie particulièrement. »

Claudine Perez : « Il faut être très passionné, car c’est un exercice qui prend du temps. Pour les illustrations, j’ai passé quasiment 6 mois à dessiner pendant mes pauses du midi. »
Marie Cristaldi : « Nous avons remis la maquette aux éditions Bellier en septembre 2017, et le livre est paru en janvier 2018. Aujourd’hui il se vend dans plusieurs librairies de la région Auvergne Rhône-Alpes, notamment à Bourgoin Jallieu. Nous allons également nous rapprocher des bibliothèques, de la médiathèque et des maisons de quartiers de Villefontaine. Éditer un livre, cela prend du temps, notre travail est souvent noyé dans une mer d’ouvrages que reçoivent les éditeurs. Il faut savoir qu’en moyenne seulement un écrit sur cinq mille est retenu par une maison d’édition. »